Le site tourismerepentigny.ca est administré par le service des arts, de la culture et des lettres de la ville de Repentigny.  Il regroupe l'ensembre des informations susceptibles d'intéresser les visiteurs de Repentigny

Adresse :
435 rue Notre-Dame
Repentigny (Québec) J6A 2B6
450 470-3000
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Mission

La mission de la Ville de Repentigny 

Redéfinie pour être plus connectée avec les citoyennes et les citoyens qui la composent, la Ville, comme gouvernement de proximité, est responsable de mettre tout en œuvre pour offrir des services municipaux de qualité, personnalisés et un cadre de vie propice à l'épanouissement de la population.  

Un de ses grands objectifs est de diversifier et rehausser les retombées économiques du secteur touristique. Pour ce faire elle souhaite​:

  • Positionner Repentigny comme une destination touristique incontournable dans le Grand Montréal ; 

  • Développer et valoriser l'économie touristique en misant sur ses attraits naturels, culturels ainsi que ses activités de loisir et de sport ;

  • Diversifier l'offre culturelle comme moteur de développement économique et de proximité citoyenne.

Les fondateurs

Parmi les pionniers, il y eut, les seigneurs et curés, les défricheurs et les artisans et professionnels. Jean-Baptiste Legardeur met la seigneurie en valeur en 1670. Époux de Marguerite Nicolet, le nouveau seigneur construisit et habita son manoir, dans un fort situé à l'extrémité ouest, à la pointe de Repentigny. Le premier curé Pierre Volant de St-Claude (1685) tenait les offices dans une petite chapelle près du fort. Installés ici après la campagne militaire du régiment de Carignan, certains défricheurs et cultivateurs avaient combattu aux côtés du seigneur Legardeur, commandant des milices. De 1689 à 1701, ils furent sur le qui-vive face aux attaques iroquoises.

Parmi les premiers défricheurs, Roch Thouin, son épouse et leurs fils prirent en fermage les terres du domaine Legardeur. Les Thouin, Ratelle, Gauthier, Langlois, Jetté, Payette et Pilon firent souche et leurs descendants y vivent encore. Après la grande paix de Montréal (1701), les Deschamps, Archambault, Beaudoin et Beaudry s'installèrent vers 1718 au nord de la rivière (Saint-Paul-l'Ermite), dans la Seigneurie de Lachenaie, mais dans la paroisse religieuse de Repentigny. Pierre Legardeur et son industrieuse épouse Agathe de Saint-Père développèrent ce secteur, qui eut pour premier curé Louis-Joseph Huot en 1859.

Les seigneuries

Le territoire de Repentigny a fait partie de trois seigneuries et d'un fief. La Seigneurie de Repentigny fut concédée, dès 1647, à Pierre Legardeur, qui mourut avant d'en prendre possession. En 1670, son fils, Jean-Baptiste, revendit à Charles Aubert, marchand de Québec, la plus grande partie de cette concession, soit tout le territoire situé au-delà de la rivière, qui devint la Seigneurie de Lachenaie. Celle-ci sera à nouveau réunie au patrimoine de Legardeur en 1715, par le petit-fils et homonyme de Pierre Legardeur, sous l'initiative de son épouse Agathe de Saint-Père, une des premières femmes d'affaires du Québec.

Jean-Baptiste Legardeur, fils du premier seigneur, fit bâtir son manoir près du pont Le Gardeur et concéda les premières terres en 1670. La famille Legardeur conserva la propriété de Repentigny de 1647 à 1764, hormis le domaine seigneurial vendu à Claude Hénault Deschamps en 1746. Des descendants de la famille Deschamps habitent encore ce territoire. Le 12 octobre 1764, le marchand Jean-Baptiste Normand acheta la seigneurie, sans le domaine pour ensuite la revendre en 1777 à Gabriel Christie qui acheta aussi celle de Lachenaie. Officier supérieur et grand propriétaire foncier, Christie possédait plusieurs autres seigneuries. Lui et ses descendants conservèrent celle de Repentigny pendant 68 ans.

La vie municipale

Repentigny a été constituée en 1855. Benjamin Moreau y fut élu maire, par vote à main levée. Ancien professeur, il tenait magasin juste à l'ouest de la rue Lebel. Le notaire François-Xavier O'brien fut le premier secrétaire-trésorier.

En 1857, les résidents du secteur au nord de la rivière fondèrent Saint-Paul-l'Ermite; le premier maire fut François Archambault, gendre du crieur public de Repentigny. Parmi les maires subséquents, on compte trois Thouin, trois Lachapelle et trois Archambault (secteur le Gardeur), et sept Deschamps (dont la première mairesse) tandis que Joseph-Oscar Beaudoin, marchand général, occupa cette fonction à trois reprises. Il faudra attendre 1997 pour voir une première femme occuper le poste. La majorité de ces maires furent des cultivateurs, mais quelques-uns étaient hôteliers.

Repentigny se dota d'un aqueduc en 1907 et de réverbères en 1933. Son service de police fut en fonction en 1957, et sa bibliothèque ouvrit en 1964. L'hôtel de ville actuel est le troisième. Le dernier hôtel de ville Le Gardeur est devenu le quartier général de la sécurité publique.

Saint-Paul-l'Ermite prit le nom de Le Gardeur en 1978 et se regroupa avec Repentigny en 2002. La population de Repentigny ne dépassa pas les 1000 habitants au sud de la rivière avant 1950, tandis qu'elle atteignait 1006 âmes du côté nord dès 1961. En 2008, Repentigny comptait près de 80 000 citoyens.

Repentigny-Les-Bains

À la fin du 19e siècle, la villégiature avait commencé à se démocratiser au Québec. Les professionnels et commerçants de la classe moyenne de la métropole prenaient le bateau à vapeur pour les villages riverains environnants, Pointe-Calumet et à Repentigny.

Le chemin de fer du Grand Nord atteignit Charlemagne en 1903. Graduellement, le pourtour de la pointe de Repentigny se garnit de villas de campagne et de chalets. Pour satisfaire cette clientèle, les Repentignois voituraient les villégiateurs, les recevaient à l'hôtel et leur vendaient légumes et fruits. En 1924, on bâtit même une chapelle dans le secteur dit de Repentigny-les-Bains, sur un terrain donné par la famille Deschamps.

Quand le pont Le Gardeur donna accès à Repentigny aux automobilistes, en 1939, les villégiateurs devinrent encore plus nombreux et on y ouvrit jusqu'à sept plages. Dans les années 50, les petits restaurants firent de bonnes affaires le long de la route nationale et à proximité de ces plages.

Le chemin de la ligne

Artère vitale depuis le 18e siècle, le boulevard Brien fut d'abord un chemin de ligne, le train d'union entre deux secteurs de la Paroisse, séparés par la rivière. Le chemin reliait le Repentigny fluvial au Petit Village, qui devint Saint-Paul-l'Ermite en 1857, puis Le Gardeur en 1978. De là, on pouvait gagner Lachenaie et Mascouche. Le chemin de ligne assurait la liaison entre deux villages aux importantes affinités. Ainsi, Benjamin Moreau, un marchand tenant magasin dans les deux municipalités, fut maire de l'une puis de l'autre.

À l'extrémité nord, une traverse à bac reliait les deux rives. Parmi ses opérateurs, on compte notamment le maître de poste Joseph Deschamps (1815 à 1834) et le menuisier Joseph Larose.

Au début du 20e siècle, le chemin longeait les terres des familles Rivest et O'Brien. Quelques maisons auraient été construites à ses extrémités. Aujourd'hui, bordé de commerces, l'ancien chemin de ligne a gardé sa fonction de liaison.

Repentigny aujoud'hui

Repentigny est aujourd’hui considérée par la Communauté métropolitaine de Montréal comme le pôle commercial et de services de la MRC de L'Assomption. Avec plus de 83 0000 résidents, Repentigny est la municipalité la plus importante de la MRC de L’Assomption, la deuxième de Lanaudière, derrière Terrebonne qui en compte 110 285, et la treizième en importance au Québec. Très bien située, la Ville de Repentigny peut compter sur d'importants carrefours routiers (40 et 640) en lien avec les grands centres ainsi que sur le Train de l’Est.

Qualifiée de « Ville du bonheur » pour sa qualité de vie optimale, Repentigny mise sur ses forces pour assurer un cadre de vie qui vise l’épanouissement de tous ses résidents. En ce sens, elle poursuit ses actions qui concernent aussi bien l’aménagement du territoire, que la culture, les loisirs, les sports, la sécurité et l’environnement. Le cœur de la Ville se revitalise aussi et se transforme à la mesure d’un centre-ville moderne avec de grands espaces piétonniers, des bureaux, des commerces, des pôles de loisirs et des espaces verts.

Elle garde son charme pittoresque avec son parc régional, l’Île-Lebel, son ouverture sur le fleuve, le chemin du Roy qui constitue son échine, ses moulins anciens qui rappellent celles et ceux qui ont fondé la paroisse de Repentigny, un noyau villageois aux abords de la rivière L’Assomption… Autant d’attraits qui sont devenus prétextes à la fête. En toute saison, Repentigny se pare de ses plus beaux atouts et accueille les visiteurs lanaudois attirés par ses fêtes familiales et ses manifestations sportives et culturelles.

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